Sommaire

France compétences est chargée du suivi et de l’évaluation de la mise en œuvre du conseil en évolution professionnel, tous actifs et tous opérateurs et les CPIR sont chargées d’un suivi de la mise en œuvre du CEP au niveau régional, quel que soit l’opérateur du CEP.

Le suivi au niveau national

France compétences est chargée du suivi et de l’évaluation de la mise en œuvre du conseil en évolution professionnel, tous actifs et tous opérateurs (opérateurs de droit – Pôle emploi, Apec, Missions locales, Cap emploi- ou opérateur régional du CEP financé par France compétences).

Ce suivi est réalisé sur la base d’un socle d’indicateurs communs à l’ensemble des réseaux d’opérateurs et peut être complété par des travaux d’évaluation.

L’État quant à lui est chargé de faciliter les coopérations entre les opérateurs du CEP.

Le suivi au niveau régional

Les CPIR-Transitions Pro sont chargées d’un suivi de la mise en œuvre du CEP au niveau régional, quel que soit l’opérateur du CEP (opérateurs de droit – Pôle emploi, Apec, Missions locales, Cap emploi – ou opérateur régional du CEP financé par France compétences).

Elles transmettent un rapport annuel à France compétences.

Les CPIR sont également responsables des diagnostics emploi/compétences territoriaux et de l’élaboration des partenariats régionaux permettant l’élaboration et la mise en œuvre des parcours professionnels, ainsi que de la définition des critères régionaux d’évaluation des dossiers de transition professionnelle et de la validation du projet réel et sérieux de reconversion professionnelle.

En savoir plus sur les CPIR-Transitions Pro

Par ailleurs, les Régions coordonnent sur leur territoire les actions de l’ensemble des organismes participant au service public régional de l’orientation, notamment les opérateurs du conseil en évolution professionnelle.

Partage de données et d’informations : quelle organisation ?

Les opérateurs partagent leurs données relatives à leur activité de conseil :

  • des données relatives au bénéficiaire (identité, niveau de formation, profession…) ;
  • des données relatives à la mise en œuvre du service par l’opérateur (date d’engagement, date de clôture, origine de la démarche, motif de la sollicitation…) ;
  • des données relatives aux parcours de formation et aux prestations complémentaires mis en place (bilan de compétences, VAE, etc) et à leur financement ;
  • des données relatives aux réclamations et à la mobilisation du médiateur ;
  • des données relatives aux moyens et aux coûts (ETP, nombre d’implantations, effectif par implantation, frais…).

Ces échanges d’informations sont dématérialisés, ce qui signifie que les systèmes de gestion sont informatisés et que les échanges sont authentifiés et cryptés.