L'essentiel
CCN1
3109 - Métallurgie
Nomenclature
du niveau de qualification
Niveau 3
Code(s) NSF
251 : Mécanique générale et de précision, usinage
Formacode(s)
23076 : Usinage
Date d’échéance
de l’enregistrement
20-07-2027
Nom légal | Siret | Nom commercial | Site internet |
---|---|---|---|
UNION INDUSTRIES METALLURGIQUES MINIERES | 78471719100018 | - | - |
Commission paritaire nationale de l'emploi de la métallurgie | - | - | - |
Objectifs et contexte de la certification :
L’ajusteur-monteur(euse) industriel réalise à partir des plans d’exécution l’ajustement d’éléments mécaniques ou de sous-ensembles mécaniques à partir de pièces ébauchées afin de les rendre fonctionnels.
Il(elle) adapte et règle les pièces les unes aux autres de manière à réaliser un montage ou un sous-ensemble conforme à son utilisation. En cela, l’ajusteur-monteur(euse) est amené(e) à corriger des éventuels défauts de pièces qui peuvent compromettre le fonctionnement du montage. Il(elle) effectue des ajustements pour améliorer les liaisons entre les différents éléments, et procède pour ce faire à des opérations diverses d’usinage à l’aide d’outils à main (lime, abrasifs, grattoir, pointeur, etc…), voire à l’aide de machines-outils pour réaliser des opérations simples (perçage, rectification, petits tournages ou fraisages, etc…). Il(elle) peut être amené(e) à procéder à des opérations complémentaires comme des soudures simples ne nécessitant pas d’habilitations spécifiques.
Il(elle) procède à la réception de l’ensemble des pièces du montage à réaliser (systèmes vis-écrous, molettes, prismes, goujons, éléments de serrages, pignons, roulements, rivets, etc..) et vérifie la conformité des pièces par rapport au plan d’exécution à l’aide des outils et instruments de contrôle à sa disposition. L’ajusteur-monteur(euse) réalise le montage selon un ordre qu’il détermine lui-même grâce à la définition d’une gamme opératoire, ou en suivant les instructions et consignes dans les documents techniques à sa disposition, en fonction de la nature du montage à réaliser et en fonction du nombre de montage à réaliser.
Après avoir monté les éléments mécaniques entre eux, l’ajusteur-monteur(euse) teste et règle le sous-ensemble réalisé, contrôle le bon fonctionnement de ce dernier en procédant aux mises au point nécessaires.
L’ajusteur-monteur(euse) assemble toutes sortes de dispositifs mécaniques dans des secteurs variés de l’industrie (mécanique générale ou de précision, aéronautique, ferroviaire, automobile, médical, etc…).
Activités visées :
La préparation des opérations de montage d’éléments mécaniques
Cette activité consiste pour l’ajusteur-monteur(euse) industriel à identifier, vérifier, comprendre et analyser l’ensemble des documents techniques nécessaires à la réalisation du montage d’éléments mécaniques afin que la chronologie et l’enchainement des opérations puissent être réalisés méthodiquement et en conformité avec les exigences de production. L’ajusteur-monteur(euse) vérifie et prépare les outils, les outillages, les équipements, et les consommables nécessaires à la réalisation des opérations. Tout en appliquant rigoureusement les instructions liées à son activité professionnelle, il(elle) met en place et conserve son poste de travail dans un état d’ordre et de propreté, et renseigne le cas échéant les documents de suivi de la traçabilité de la préparation des opérations de montage. Enfin, il(elle) assure cette activité en utilisant les équipements de protection individuelle (EPI) nécessaires.
Cette activité a pour finalité de garantir la qualité de la production des montages et d’organiser celle-ci pour assurer les opérations de montage d’éléments mécaniques qui suivent.
L’ajustage-montage d’éléments mécaniques
Cette activité consiste pour l’ajusteur-monteur(se) industriel à réaliser l’ensemble des opérations de montage selon les instructions qui lui sont données, en s’appliquant à respecter les objectifs assignés, en repérant et en isolant les non-conformités en production selon les procédures, tout en étant force de proposition pour améliorer ses objectifs sur son périmètre d’activité. Tout au long des opérations, l’ajusteur-monteur(se) procède à des tests et des réglages de fonctionnalité afin que le montage mécanique soit en conformité avec les exigences de départ. La réalisation des différents contrôles qualité complémentaires est assurée, et en cas de non-conformité ces dernières sont écartées ou signalées. L’ajusteur-monteur ajuste et peut aussi corriger des défauts de pièces ou d’éléments mécaniques par des opérations d’usinages simples. Son activité est régie par les modes opératoires et les moyens affectés à son poste de travail, ses contributions d’améliorations sont soumises aux procédures en place au sein de l’entreprise. Enfin, il(elle) assure ses activités en utilisant les équipements de protection individuelle (EPI) nécessaires.
Cette activité a pour finalité de garantir la production de montages fonctionnels et conformes aux exigences client.
Compétences attestées :
Vérifier l’approvisionnement du matériel, outil, composants nécessaires aux opérations de
montage d’éléments mécaniques
L’ensemble des outils, outillages, composants, consommables nécessaires au montage est identifié à
partir du dossier de fabrication, et des instructions de travail mises à disposition (modes opératoires,
gammes de montage procédures, fiches d'instructions, fiche de relevé …). L’ajusteur-monteur(euse)
industriel opère cette étape dans l’objectif d’organiser les différentes opérations qui vont devoir être
effectuées pour le montage complet.
La préparation des outils, outillages, équipements, composants, consommables en amont des opérations
de montage constitue la première étape des activités de l’ajusteur-monteur(euse), à partir de l’ensemble
de la documentation de fabrication. Compétence professionnelle visant à vérifier l’aptitude
Cette compétence vise à vérifier les aptitudes professionnelles de l’ajusteur-monteur(euse) sur la
capacité à reconnaitre, comprendre la fonctionnalité, et les opérations de montage associées à chaque
outils, outillage, équipements, composants, et consommables.
Cette compétence vise également que l’organisation du montage est comprise, qu’aucun aléa n’a été
identifié, et que le cas échéant une mesure corrective a été prise en concertation avec l’interlocuteur
adapté.
Cette compétence vise à vérifier que la conformité des outillages, composants, consommables et moyens
de contrôle est vérifiée avec méthode.
Préparer l’enchainement des opérations de montage d’éléments mécaniques
L’examen et la compréhension du dossier de fabrication et des instructions de travail mises à disposition
(modes opératoires, gammes de montage procédures, fiches d'instructions, fiche de relevé …) est une
étape nécessaire pour organiser les différentes opérations qui vont devoir être effectuées pour le
montage complet.
Cette compétence vise à vérifier la capacité de l’ajusteur-monteur(euse) à s’assurer qu’il(elle) détient
l’ensemble des documents et informations nécessaires à la réalisation du montage en tenant compte des
contraintes liées à sa sécurité et à celle de son environnement.
Cette compétence vise à vérifier que l’ajusteur-monteur(euse) a la capacité d’appréhender et d’organiser
son travail, tout en s’assurant que toute la documentation est bien mise à disposition au poste de travail.
Procéder aux opérations d’ajustage d’éléments mécaniques
Aux moyens des outillages et des équipements à disposition, des outils et des machines, l’ajusteurmonteur(
euse) est amené(e) à procéder à diverses opérations d’ajustage notamment pour améliorer les
liaisons mécaniques entre les différents éléments. Mais il peut arriver que ces opérations soient réalisées
lorsque les éléments du montage présentent des défauts ou des anomalies, à réception pour une
première monte voire en réparation. Il s’agit alors de procéder à leur ajustage dans les limites des
tolérances fixées par les plans de fabrication.
Cette compétence vise à vérifier que l’ajusteur-monteur(euse) utilise dans les règles de l’art les moyens
d’usinage à disposition afin d’ajuster entre eux les éléments mécaniques d’un montage, ou d’un sousensemble
d’équipement industriel.
Cette compétence requiert une certaine dextérité, ainsi qu’une habileté professionnelle ou les sens sont
sollicités, notamment le touché lorsqu’il s’agit d’un état de surface, la vue, l’ouïe notamment lorsque les
bruits du montage en fonctionnement sont anormaux, enfin parfois l’odorat lorsque deux pièces en
mouvement mal ajustées provoquent des échauffements anormaux.
Procéder aux opérations de montage d’éléments mécaniques
Lorsque le poste est organisé, et que la chronologie des opérations est analysée et comprise, le monteur
peut procéder aux différentes opérations de montage. Elles doivent être effectuées en respectant la
documentation de fabrication, la chronologie et les exigences qualités et délais.
Cette compétence professionnelle vise à vérifier la capacité de l’ajusteur(euse) monteur(euse) à
maitriser les opérations techniques de montage :
- Réalisation de montage des éléments de guidage, de translation, de rotation, de roulement de
bagues…), réalisation des connexions ;
- Fixation d’éléments fixés (collage, serrage en couple, étanchéité…)
Régler et tester la fonctionnalité du sous-ensemble
Après chaque opération de montage, d’assemblage, les réglages sont opérés et la fonctionnalité est
testée. Cette opération est essentielle à la réalisation globale du montage de l’ensemble ou du sous
ensemble pour que celui-ci détienne les fonctionnalités requises. Les pièces produites sont réglées,
ajustées, testées et contrôlées selon les procédures et moyens adaptés afin de garantir leur conformité.
Cette compétence professionnelle vise à vérifier la capacité de l’ajusteur-monteur(euse) industriel à
maitriser les opérations techniques de réglage, ajustement et test de fonctionnalité et de contrôle
qualité.
Cette compétence professionnelle vise à vérifier la capacité de l’ajusteur-monteur(euse) industriel à
réaliser les tests et réglages avec méthode et en utilisant les techniques appropriées de manière itérative
jusqu’à option de la valeur de réglage optimum ou de référence.
Modalités d'évaluation :
Les compétences professionnelles mentionnées dans le référentiel sont évaluées par une commission d’évaluation composée de plusieurs membres qualifiés ayant une expérience professionnelle leur permettant d’évaluer la maitrise des compétences professionnelles du candidat identifiées dans le référentiel de la certification professionnelle visée. Chaque référentiel de certification peut prévoir plusieurs modalités alternatives ou cumulatives d’évaluation pour chacune des compétences professionnelles à évaluer. L’UIMM territoriale centre de certification définit les modalités d’évaluation en concertation avec l’entreprise et les acteurs concernés (organisme de formation habilité, candidats, ...). Les compétences professionnelles mentionnées dans le référentiel de certification sont évaluées par la commission d’évaluation à l’aide des critères mesurables, observables et les résultats attendus selon les conditions d’évaluation précisées dans le référentiel d’évaluation de la certification visée. Cette évaluation sera complétée par l’avis de l’entreprise pour décision finale. Les différentes modalités d’évaluation sont les suivantes : ÉVALUATION EN SITUATION PROFESSIONNELLE RÉELLE : L’évaluation des compétences professionnelles s’effectue dans le cadre d’activités professionnelles réelles réalisées en entreprise ou en centre de formation habilité, ou tout autre lieu adapté. Celle-ci s’appuie sur : 1. une observation en situation de travail. 2. des questionnements avec apport d’éléments de preuve sur les activités professionnelles réalisées en entreprise par le candidat. ET/OU PRÉSENTATION DES PROJETS OU ACTIVITÉS RÉALISÉS EN MILIEU PROFESSIONNEL : Le candidat transmet un rapport à l’UIMM territoriale centre de certification, dans les délais et conditions préalablement fixés, afin de montrer que les compétences professionnelles à évaluer selon cette modalité ont bien été mises en œuvre en entreprise à l’occasion d’un ou plusieurs projets ou activités. La présentation de ces projets ou activités devant une commission d’évaluation permettra au candidat de démontrer que les exigences du référentiel de certification sont satisfaites. ET AVIS DE L’ENTREPRISE : L’entreprise (tuteur, responsable hiérarchique ou fonctionnel…) donne un avis au regard du référentiel d’activité.
RNCP36737BC01 - La préparation des opérations de montage d’éléments mécaniques
Liste de compétences | Modalités d'évaluation |
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Vérifier l’approvisionnement du matériel, outil, composants nécessaires aux opérations de montage d’éléments mécaniques Préparer l’enchainement des opérations de montage d’éléments mécaniques |
Les compétences professionnelles mentionnées dans le référentiel de certification sont évaluées par la commission d’évaluation à l’aide des critères mesurables, observables et les résultats attendus selon les conditions d’évaluation précisées dans le référentiel d’évaluation de la certification visée. Cette évaluation sera complétée par l’avis de l’entreprise pour décision finale. Les différentes modalités d’évaluation sont les suivantes : ÉVALUATION EN SITUATION PROFESSIONNELLE RÉELLE : L’évaluation des compétences professionnelles s’effectue dans le cadre d’activités professionnelles réelles réalisées en entreprise ou en centre de formation habilité, ou tout autre lieu adapté. Celle-ci s’appuie sur : 1. une observation en situation de travail. 2. des questionnements avec apport d’éléments de preuve sur les activités professionnelles réalisées en entreprise par le candidat. ET/OU PRÉSENTATION DES PROJETS OU ACTIVITÉS RÉALISÉS EN MILIEU PROFESSIONNEL : Le candidat transmet un rapport à l’UIMM territoriale centre de certification, dans les délais et conditions préalablement fixés, afin de montrer que les compétences professionnelles à évaluer selon cette modalité ont bien été mises en œuvre en entreprise à l’occasion d’un ou plusieurs projets ou activités. La présentation de ces projets ou activités devant une commission d’évaluation permettra au candidat de démontrer que les exigences du référentiel de certification sont satisfaites. ET AVIS DE L’ENTREPRISE : L’entreprise (tuteur, responsable hiérarchique ou fonctionnel…) donne un avis au regard du référentiel d’activité. |
RNCP36737BC02 - L’ajustage-montage d’éléments mécaniques
Liste de compétences | Modalités d'évaluation |
---|---|
Procéder aux opérations d’ajustage d’éléments mécaniques Régler et tester la fonctionnalité du sous-ensemble |
Les compétences professionnelles mentionnées dans le référentiel de certification sont évaluées par la commission d’évaluation à l’aide des critères mesurables, observables et les résultats attendus selon les conditions d’évaluation précisées dans le référentiel d’évaluation de la certification visée. Cette évaluation sera complétée par l’avis de l’entreprise pour décision finale. Les différentes modalités d’évaluation sont les suivantes : ÉVALUATION EN SITUATION PROFESSIONNELLE RÉELLE : L’évaluation des compétences professionnelles s’effectue dans le cadre d’activités professionnelles réelles réalisées en entreprise ou en centre de formation habilité, ou tout autre lieu adapté. Celle-ci s’appuie sur : 1. une observation en situation de travail. 2. des questionnements avec apport d’éléments de preuve sur les activités professionnelles réalisées en entreprise par le candidat. ET/OU PRÉSENTATION DES PROJETS OU ACTIVITÉS RÉALISÉS EN MILIEU PROFESSIONNEL : Le candidat transmet un rapport à l’UIMM territoriale centre de certification, dans les délais et conditions préalablement fixés, afin de montrer que les compétences professionnelles à évaluer selon cette modalité ont bien été mises en œuvre en entreprise à l’occasion d’un ou plusieurs projets ou activités. La présentation de ces projets ou activités devant une commission d’évaluation permettra au candidat de démontrer que les exigences du référentiel de certification sont satisfaites. ET AVIS DE L’ENTREPRISE : L’entreprise (tuteur, responsable hiérarchique ou fonctionnel…) donne un avis au regard du référentiel d’activité. |
Description des modalités d'acquisition de la certification par capitalisation des blocs de compétences et/ou par correspondance :
La certification professionnelle peut être obtenue par capitalisation des blocs de compétences. Pour une certification non répertoriée au RNCP : Le candidat a la possibilité de se présenter à de nouvelles actions d’évaluation sur la conservation du bénéfice des compétences professionnelles acquises et validées, pendant un délai de 24 mois à compter de la date de la décision du jury paritaire de délibération ; Pour une certification répertoriée au RNCP : Le candidat a la possibilité de se présenter à de nouvelles actions d’évaluation sur la conservation du bénéfice des compétences professionnelles acquises et validées, pendant un délai de 5 ans à compter de la date de la décision du jury paritaire de délibération ; La réinscription sera effectuée par l’intermédiaire d’une entreprise ou d’un organisme de formation habilité, ou directement par le candidat.
Secteurs d’activités :
L’ajusteur-monteur(euse) travaille principalement au sein d’entreprises industrielles ou sous-traitantes de l’industrie pour des secteurs d’activités variés (mécanique générale, automobile, aéronautique, médical…).
Il(elle) intervient au sein d’un atelier de fabrication industrielle pour réaliser les opérations diverses d’ajustage-montage afin de produire des sous-ensembles de petites voire de moyennes séries, au moyen d’équipements et d’outils adaptés aux opérations.
L’ajusteur-monteur(euse) industriel est un mécanicien, il(elle) est compétent(e) pour réaliser une large palette d’ajustements mécaniques divers et variés, et de fait réalise ses opérations à partir d’outils à main ou de machines (perceuse, ponceuse, etc…) voire de machines-outils pour réaliser des opérations simples d’usinages.
Type d'emplois accessibles :
Monteur mécanique,
Mécanicien monteur,
Ajusteur,
Assembleur monteur,
Opérateur en montage,
Opérateur monteur mécanique
Code(s) ROME :
- H2901 - Ajustement et montage de fabrication
Références juridiques des règlementations d’activité :
Le cas échant, prérequis à l’entrée en formation :
Le cas échant, prérequis à la validation de la certification :
Pré-requis disctincts pour les blocs de compétences :
Non
Validité des composantes acquises :
Voie d’accès à la certification | Oui | Non | Composition des jurys | Date de dernière modification |
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Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant | X | - | - | |
En contrat d’apprentissage | X | - | - | |
Après un parcours de formation continue | X |
Le jury paritaire de délibération est constitué : D’une délégation patronale composée au maximum de cinq membres qualifiés relevant de la branche de la métallurgie. D’une délégation syndicale, pour celle-ci chaque organisation syndicale représentative de salariés au niveau national dans la branche désigne un ou plusieurs représentants qualifiés. En revanche, seul un représentant par organisation syndicale siège dans le jury avec droit de vote. Les organisations syndicales peuvent envoyer, pour chaque jury, alternativement l’un ou l’autre de leurs représentants désignés. Le tuteur du candidat, un représentant des organismes de formation habilités ainsi que les membres de la commission d’évaluation, peuvent être également invités au jury paritaire de délibération pour consultation mais ne peuvent pas prendre part à la décision de ce jury. Le jury paritaire de délibération est présidé par un représentant désigné par l’UIMM territoriale centre de certification qui a en charge l’organisation des actions d’évaluation. Conformément à l’accord du 8 novembre 2019, le jury paritaire de délibération transmet au Groupe Technique paritaire « Certifications » l’ensemble des informations relatives au processus d’attribution comprenant sa composition, sa délibération, ainsi que tout document utile à son suivi. Cette transmission vise à permettre, au Groupe Technique Paritaire « Certifications », de s’assurer de la conformité du processus d’attribution au dispositif de certification de branche. |
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En contrat de professionnalisation | X |
Le jury paritaire de délibération est constitué : D’une délégation patronale composée au maximum de cinq membres qualifiés relevant de la branche de la métallurgie. D’une délégation syndicale, pour celle-ci chaque organisation syndicale représentative de salariés au niveau national dans la branche désigne un ou plusieurs représentants qualifiés. En revanche, seul un représentant par organisation syndicale siège dans le jury avec droit de vote. Les organisations syndicales peuvent envoyer, pour chaque jury, alternativement l’un ou l’autre de leurs représentants désignés. Le tuteur du candidat, un représentant des organismes de formation habilités ainsi que les membres de la commission d’évaluation, peuvent être également invités au jury paritaire de délibération pour consultation mais ne peuvent pas prendre part à la décision de ce jury. Le jury paritaire de délibération est présidé par un représentant désigné par l’UIMM territoriale centre de certification qui a en charge l’organisation des actions d’évaluation. Conformément à l’accord du 8 novembre 2019, le jury paritaire de délibération transmet au Groupe Technique paritaire « Certifications » l’ensemble des informations relatives au processus d’attribution comprenant sa composition, sa délibération, ainsi que tout document utile à son suivi. Cette transmission vise à permettre, au Groupe Technique Paritaire « Certifications », de s’assurer de la conformité du processus d’attribution au dispositif de certification de branche. |
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Par candidature individuelle | X |
Le jury paritaire de délibération est constitué : D’une délégation patronale composée au maximum de cinq membres qualifiés relevant de la branche de la métallurgie. D’une délégation syndicale, pour celle-ci chaque organisation syndicale représentative de salariés au niveau national dans la branche désigne un ou plusieurs représentants qualifiés. En revanche, seul un représentant par organisation syndicale siège dans le jury avec droit de vote. Les organisations syndicales peuvent envoyer, pour chaque jury, alternativement l’un ou l’autre de leurs représentants désignés. Le tuteur du candidat, un représentant des organismes de formation habilités ainsi que les membres de la commission d’évaluation, peuvent être également invités au jury paritaire de délibération pour consultation mais ne peuvent pas prendre part à la décision de ce jury. Le jury paritaire de délibération est présidé par un représentant désigné par l’UIMM territoriale centre de certification qui a en charge l’organisation des actions d’évaluation. Conformément à l’accord du 8 novembre 2019, le jury paritaire de délibération transmet au Groupe Technique paritaire « Certifications » l’ensemble des informations relatives au processus d’attribution comprenant sa composition, sa délibération, ainsi que tout document utile à son suivi. Cette transmission vise à permettre, au Groupe Technique Paritaire « Certifications », de s’assurer de la conformité du processus d’attribution au dispositif de certification de branche. |
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Par expérience | X |
Le jury paritaire de délibération est constitué : D’une délégation patronale composée au maximum de cinq membres qualifiés relevant de la branche de la métallurgie. D’une délégation syndicale, pour celle-ci chaque organisation syndicale représentative de salariés au niveau national dans la branche désigne un ou plusieurs représentants qualifiés. En revanche, seul un représentant par organisation syndicale siège dans le jury avec droit de vote. Les organisations syndicales peuvent envoyer, pour chaque jury, alternativement l’un ou l’autre de leurs représentants désignés. Le tuteur du candidat, un représentant des organismes de formation habilités ainsi que les membres de la commission d’évaluation, peuvent être également invités au jury paritaire de délibération pour consultation mais ne peuvent pas prendre part à la décision de ce jury. Le jury paritaire de délibération est présidé par un représentant désigné par l’UIMM territoriale centre de certification qui a en charge l’organisation des actions d’évaluation. Conformément à l’accord du 8 novembre 2019, le jury paritaire de délibération transmet au Groupe Technique paritaire « Certifications » l’ensemble des informations relatives au processus d’attribution comprenant sa composition, sa délibération, ainsi que tout document utile à son suivi. Cette transmission vise à permettre, au Groupe Technique Paritaire « Certifications », de s’assurer de la conformité du processus d’attribution au dispositif de certification de branche. |
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Oui | Non | |
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Inscrite au cadre de la Nouvelle Calédonie | X | |
Inscrite au cadre de la Polynésie française | X |
Lien avec d’autres certifications professionnelles, certifications ou habilitations :
Oui
Certifications professionnelles, certifications ou habilitations en correspondance au niveau européen ou international :
Le Bloc de compétence « La préparation des opérations de montage d’éléments mécaniques » CQPM 0082 Assembleur(se) Monteur(se) de systèmes mécanisés est commun aux deux certifications.
Certifications professionnelles enregistrées au RNCP en correspondance :
Code de la fiche | Intitulé de la certification professionnelle reconnue en correspondance | Nature de la correspondance (totale, partielle) |
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Liens avec des certifications et habilitations enregistrées au Répertoire spécifique :
Date de décision | 20-07-2022 |
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Durée de l'enregistrement en années | 5 |
Date d'échéance de l'enregistrement | 20-07-2027 |
Promotions (année d'obtention) pouvant bénéficier du niveau de qualification octroyé |
2020 2021 2018 2019 |
Statistiques :
Année d'obtention de la certification | Nombre de certifiés | Nombre de certifiés à la suite d’un parcours vae | Taux d'insertion global à 6 mois (en %) | Taux d'insertion dans le métier visé à 6 mois (en %) | Taux d'insertion dans le métier visé à 2 ans (en %) |
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2019 | 31 | 0 | 100 | 73 | 61 |
2018 | 54 | 0 | 100 | 100 | 85 |
Liste des organismes préparant à la certification :
Référentiel d'activité, de compétences et d'évaluation :